Lorenzo Soulès / MOZART, Concerto pour piano no 24 en do mineur, K. 491 Agrandir l'image

Lorenzo Soulès (piano)

Mozart, Concerto n° 24

LDV220

Nouveauté

Pianiste réfléchi et profond, le tout jeune Lorenzo Soulès a choisi pour son premier disque des œuvres de maturité.

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14,96 €

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L'un des concertos de Mozart les plus sérieux du répertoire, une œuvre tardive de Brahms, des variations inquiètes de Beethoven et la sombre neuvième sonate de Scriabine
Un état d’esprit propre à ce jeune homme réfléchi et profond, conscient à la fois de son talent et de sa singularité ; et une couleur largement mélancolique, qui sied somme toute parfaitement à un si jeune homme inspiré, et où le tragique l’emporte sur la virtuosité. Il relève ce lourd défi de bout en bout, conduisant Mozart avec grâce et simplicité, bien servi par Simon Gaudenz, révélant les subtilités virtuoses et les profondeurs de Beethoven, s’épanouissant avec mélancolie et sérénité dans Brahms et plongeant dans les profondeurs mystiques de Scriabine. 

+ Playlist

+ Détails CD

Wolfgang Amadeus Mozart 
Concerto pour piano no 24 en do mineur, K. 491


Ludwig van Beethoven
32 Variations WoO 80 en sol mineur


Johannes Brahms 
3 Intermezzi op.117


Alexandre Scriabine
Sonate pour piano no.9 op.68 "Messe noire"

Durée : 66'48 

+ Lorenzo Soulès

Issu d’une famille de musiciens, Lorenzo Soulès est né à Lyon où il débute le piano dès 3 ans. À 8 ans il entre au CRR de Paris dans la classe d’Olivier Gardon. Il en sortira à 13 ans après en avoir obtenu tous les prix.
Voilà un bien jeune âge pour faire un choix important, celui du professeur à qui confier la suite des études musicales. Ce seront Pierre-Laurent Aimard et Tamara Stefanovich, tous deux enseignants à Cologne où Lorenzo part s’installer. Parallèlement il étudie à Barcelone l’intégrale d’
Iberia avec la grande Alicia de Larrocha.

C’est en 2012, à 20 ans, qu’il décide de se lancer à l’assaut d’un premier grand concours international. Son choix se porte sur le prestigieux Concours de Genève. Lorenzo, jeune homme aussi discret dans la vie que musicien inspiré et vibrant, y fera l’unanimité du jury et du public, en raflant tous les prix : Premier Prix, Prix Coup de Cœur Breguet, Prix du public, Prix du jeune public et Prix Air France KLM.

La saison 2013/14 le verra se produire entre autres au MIDEM de Cannes, à Dortmund, au Victoria Hall de Genève, à Weimar, à Radio France, aux festivals d’Aldeburgh, de Davos, des Haudères et du Périgord Noir, au festival de piano de la Ruhr, aux Flâneries Musicales de Reims ou encore dans le cadre des Solistes à Bagatelle, à Paris.
Il participera également au Festival des lauréats du Concours de Genève en décembre 2013 et bénéficiera en 2014 de plusieurs productions organisées par le Concours de Genève, dont une tournée en Asie aux côtés du Quatuor Armida. 

+ Orchestre de Chambre de Genève

L’Orchestre de Chambre de Genève est un ensemble qui prône l’excellence dans tous les répertoires, faisant ainsi découvrir au public des œuvres trop peu jouées dans les salles de concerts habituelles.
De nombreux chefs et solistes de grande renommée ont contribué à forger l’identité et l’originalité de L’OCG, tels que Armin Jordan, Ivor Bolton, Rinaldo Alessandrini, Thomas Rösner, Natalie Dessay, Sandrine Piau, Véronique Gens, Andreas Scholl, Patricia Kopatchinskaja, Aldo Ciccolini et bien d’autres.

Dès la saison 2013-2014, Arie van Beek, chef invité privilégié ces trois dernières saisons, est nommé directeur artistique et musical afin de consolider et développer son empreinte sur la phalange genevoise.
Au-delà de ses concerts de soirée, L’OCG collabore étroitement avec divers partenaires culturels genevois dont la Ville de Genève, le Grand Théâtre de Genève, le Concours de Genève, la Haute Ecole de Musique, l’Opéra de Chambre de Genève, les chorales genevoises ou encore l’Orchestre des Pays de Savoie. 

+ Simon Gaudenz

En recevant le Deutscher Dirigentpreis, Simon Gaudenz devient en 2009 lauréat du concours de chefs d’orchestre le plus richement doté d’Europe.
Chef recherché, il est fréquemment invité à diriger l’Orchestre Symphonique de la Radio Bavaroise, la Staatskapelle de Dresde, l’Orchestre National de France, l’Orchestre National de Lyon, l’Orchestre de l’Opéra National de Bavière, les orchestres philharmoniques de Monte-Carlo, Strasbourg, Stuttgart, Oslo, Düsseldorf, Nuremberg, Brême, du Luxembourg, de Russie, de la Radio de Saarbrück, de la Rhénanie-Palatinat, les orchestres symphoniques de Berlin, Bâle, du Tyrol, de la Radio de Stuttgart, l’Orchestre de la Tonhalle de Zurich et celui du Konzerthaus de Berlin parmi d’autres. Il se produit réguilièrement aux côtés de solistes renommés parmi lesquels Gidon Kremer, Barbara Bonney, Viktoria Postnikova, Arabella Steinbacher, Lauma Skride, Sebastian Knauer, Lise de la Salle, Martin Stadtfeld et Andreas Brantelid.

De 2004 à 2011, Simon Gaudenz fut le chef principal du Collegium Musicum de Bâle, après y avoir dirigé quatre ans durant la Camerata Variabile. Il a été nommé principal chef invité de l’Orchestre Symphonique d’Odense en 2010.

Il participe à de nombreux d’enregistrements radiophoniques et phonographiques.

Simon Gaudenz a mené des études de clarinette, direction et composition à Lucerne, Graz, Fribourg et Salzbourg, suivant les enseignements de Leon Fleisher, Kurt Masur, David Zinman, Eliahu Inbal, Reinhard Goebel et Arnold Östman. Il est invité en 2010 à participer à Moscou au jury du concours Gennady Rozhdestvensky aux côtés de Sir Simon Rattle, Bernard Haitink, Paavo Berglund et Neeme Järvi.