Ryoko Yano / MOZART - Concerto en La majeur KV 219 pour violon et orchestre Agrandir l'image

Ryoko Yano (violon)

Mozart / Concerto n°5

LDV212

Nouveauté

Sensualité, charme et complicité caractérisent cette jeune japonaise, vainqueur du Concours 2004.

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14,96 €

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La violoniste japonaise Ryoko Yano, personnalit" attachante et fantasque, propose un programme brillant.

La Rhapsodie de Bartók a le caractère sauvage et terrien qui sied à cette musique; le Poème d’Ysaÿe est à la fois virtuose et charnel et la Sonate de Saint-Saëns, musique rarement jouée, devient une œuvre passionnante, romantique et sensuelle.

Dans ce premier disque, c’est bien cette dimension, la sensualité, le charme et la complicité qui est la caractéristique dominante, à l’image de la jeune japonaise, dont le sourire et le charme ont conquis le jury et les spectateurs du Concours 2004.
La complicité avec le formidable pianiste Sergey Koudriakov transparaît à chaque instant



+ Playlist

+ Détails CD

Wolfgang Amadeus Mozart

Concerto en La majeur KV 219 pour violon et orchestre

Béla Bartók

Deuxième Rhapsodie (danses populaires) pour violon et piano

Eugène Ysaÿe

 “Poème élégiaque” pour violon et piano op.12

Camille Saint-Saëns

Première sonate pour violon et piano op.75 



Durée : 74'30

+ Ryoko Yano

Née au Japon à Fukuoka-ken en 1982, Ryoko Yano commence l’étude du violon dès l’âge de 4 ans auprès de Hisako Fukuzaki, puis de Mariko Tajima et enfin de Chikashi Tanaka. Elle remporte de nombreux Prix au Japon dès 1992 et donne ses premiers concerts en soliste. En 2000, elle entre à l’Université Nationale des Arts et Musique de Tokyo et la même année remporte le 1er Prix et le Prix spécial de la meilleure interprétation d’une pièce moderne au Concours International Tibor Varga.

Elle est invitée à participer à l’Académie Maurice Ravel où elle suit les cours de Jean-Jacques Kantorow et de Peter Csaba et y remporte le 1er Prix de Musique de chambre. Parallèlement, elle bénéficie de l’enseignement de Tibor Varga. La même année, titulaire d’une bourse du gouvernement français, elle intègre le Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris auprès de Jean-Jacques Kantorow où elle remporte en 2005 un Premier Prix de violon avec distinction.

Lauréate de plusieurs concours internationaux en 2003 : Prix spéciaux Götz et Staz au Concours International de Markneukirchen, puis Troisième Prix du Concours Stradivarius, elle remporte en 2004 le Deuxième Prix du 59e Concours de Genève (Premier Prix non attribué), ainsi que le Prix spécial “Coup de Cœur Breguet” et le Prix du public. Le Concours de Genève lui permet en outre de bénéficier de nombreuses opportunités d’engagements et d’enregistrer son premier disque avec le soutien de Montres Breguet SA. 

+ Sergey Koudriakov

Né à Moscou en 1978, Sergey Koudriakov débute sa formation musicale professionnelle à l’Académie Gnessin de Moscou dans la classe de Valentina Aristova. Terminant brillamment ses études universitaires, il obtient un diplôme du Conservatoire d’État (classe de Mikhail Voskresensky), où il occupe actuellement un poste d’assistant. Sergey a déjà été primé lors de plusieurs concours internationaux : 3e Prix du Concours international d’Epinal ainsi que 5e prix au Concours international de piano de Porto, en 1997; Prix spécial du Concours Géza Anda en 2000 et enfin du Concours Van Cliburn en 2001, il remporte en 2002 le Premier Prix, le Prix spécial du public et le Prix “Coup de Cœur Breguet” lors du 57e Concours de Genève.

Sergey Koudriakov se produit en Russie, France, Suisse, Angleterre, Italie, Norvège, Portugal, ex-Yougoslavie, aux État-Unis et au Japon avec divers orchestres symphoniques ou formations de chambre. Présent dans la plupart des saisons de concerts et des festivals russes, il poursuit aujourd’hui sa carrière internationale en bénéficiant des tournées de concerts organisées par le Concours de Genève qui lui a également offert l’opportunité d’enregistrer un premier disque avec le soutien de Montres Breguet SA. 

+ Werner Ehrhardt

Issu d’une famille de musiciens, le chef d’orchestre et violoniste germano-hongrois Werner Ehrhardt, né en 1957, a débuté l’étude du violon sous la conduite de son père. À la Haute école de Musique de Cologne, il a suivi les classes de violon et de violon baroque du Prof. Franzjosef Maier. Il s’est ensuite perfectionné dans les domaines de l’interprétation historique et de la direction auprès de Sigiswald Kuijken à Bruxelles et de Karl-Heinz Blömeke à Detmold.

Depuis 1985, Werner Ehrhardt est directeur artistique de l’orchestre de chambre Concerto Köln, une formation spécialisée dans la musique ancienne. Avec son esprit d’ouverture, sa curiosité et son enthousiasme communicatif, il a fait du Concerto Köln l’un des orchestres de chambre les plus renommés de la scène internationale. Werner Ehrhardt se distingue également au niveau des choix de programmation. Parmi la trentaine d’enregistrements discographiques réalisés sous sa direction, dont beaucoup ont été primés, figurent de nombreuses redécouvertes et des œuvres de musiciens oubliés. Des compositeurs comme Kraus, Rosetti, Dall’Abaco ou Eberl sont chaque année au centre du Festival de Musique Ancienne de Cologne, que dirige Werner Ehrhardt. 

+ L’Orchestre de Chambre de Genève

L’ascension a été fulgurante: en moins de quinze ans, L’Orchestre de Chambre de Genève (L’OCG) est passé du rang de formation semi-professionnelle à celui d’un orchestre de premier ordre, unique en son genre dans le paysage musical lémanique. Sous l’impulsion du chef allemand Michael Hofstetter, à la tête de l’ensemble depuis 2001, L’OCG a développé une identité sonore très personnelle s’inscrivant dans une approche d’interprétation historique. Privilégiant un répertoire qui s’étend du baroque tardif à l’époque romantique, Michael Hofstetter cherche à retrouver la coloration originale des œuvres abordées en faisant jouer celles-ci sur instruments historiques. Cordes en boyau, archets classiques, de même que flûtes en bois et cuivres naturels ont ainsi trouvé leur place au sein de l’orchestre, aux côtés des instruments modernes.

Loin de se limiter au seul répertoire du passé, L’OCG aborde également des œuvres contemporaines, qu’il met en perspective avec des compositions plus anciennes. L’OCG se fait aussi un point d’honneur de valoriser des compositeurs méconnus ou oubliés. Joseph Martin Kraus, Joseph Leopold Eybler ou Jean-Ferry Rebel font ainsi partie des compositeurs remis en valeur au cours des derniers concerts.

Établi à Genève, L’OCG y présente chaque année au Bâtiment des Forces Motrices une saison forte de six à sept concerts d’abonnements. Ses autres activités, qui totalisent une cinquantaine de prestations annuelles, comprennent des collaborations avec la Ville de Genève (Concerts du dimanche, Sérénades d’été) et différents chœurs genevois ou romands, des coproductions avec d’autres phalanges (notamment l’Orchestre des Pays de Savoie), une production annuelle avec l’Opéra de Fribourg, un partenariat avec le Concours de Genève, des concerts pour les jeunes, des enregistrements radiophoniques et discographiques, des tournées en Suisse et à l’étranger, ainsi que des concerts à caractère privé.

En prenant la succession de Thierry Fischer et de Lev Markiz, Michael Hofstetter a consolidé leur démarche et relevé encore la qualité de l’orchestre, lui permettant de collaborer avec des chefs et des solistes de premier ordre, comme Armin Jordan, Paul Goodwin, Arnold Östman, Alessandro de Marchi, Nathalie Stutzmann, Aldo Ciccolini ou Matthias Goerne. Cet élan, reconnu déjà dans le milieu artistique, vient d’être salué également dans celui des entreprises: L’OCG a reçu en mai 2005 le Prix Michel Baettig qui récompense une réussite exceptionnelle et le succès d’une équipe dynamique.

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