Gilles Vonsattel, Beethoven, Concerto n° 1, op. 15 Agrandir l'image

Gilles Vonsattel (piano)

Beethoven / Concerto n° 1, op. 15

LDV214

Nouveauté

Gilles Vonsattel, pianiste né en Suisse mais enfant de New York, est un interprète exigeant et réfléchi. 

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14,96 €

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Son programme le démontre, formant un tout soigneusement calculé et parfaitement maîtrisé. 

Le premier concerto de Beethoven allie un goût très sûr avec une virtuosité au service de la musique, bien servi par un orchestre et un chef de haut niveau. Les pièces de Liszt brillent quant à elles d’un éclat remarquable: éblouissantes lorsqu’il le faut, chatoyantes et sensibles lorsque la musique se fait plus profonde. Le tout terminant en apothéose avec une lecture magistrale du Dante, une œuvre dont la célébrité ne diminue pas la beauté tragique et dramatique, ici rendue avec une maturité remarquable.

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Ludwig van Beethoven
Concerto pour piano n° 1 en ut majeur, op. 15

Franz Liszt
Années de pèlerinage – Troisième année”
Années de pèlerinage – Deuxième année : Italie


Durée : 77'00

+ Gilles Vonsattel

Né à Lausanne, Gilles Vonsattel vit aux États-Unis depuis son plus jeune âge. Il étudie à Boston avec le pianiste David Deveau et il poursuit sa formation à New-York avec Jerome Lowenthal. Il obtient son Master en musique à la Juilliard School, après avoir reçu son Bachelor en science politique et en économie à la Columbia University.

En 2002, Gilles Vonsattel remporte le premier prix du concours international de piano de la Fondation Walter W. Naumburg et fait ses débuts au Lincoln Center de New York (Alice Tully Hall). Ses engagements de soliste l’amène à sillonner les États-Unis où il se produit avec le Cleveland Chamber Orchestra, le Grand Rapids Symphony, le Mobile Symphony, le Naples Philharmonic, le Nashville Symphony, le New Century Chamber Orchestra, le Santa Fe Symphony, l’Utah Symphony et le Boston Pops. En Europe, il collabore avec le National Symphony of Ireland et l’Orchestre de Chambre de Genève. Gilles Vonsattel est invité à la Radio Nationale Américaine dans l’émission “Performance Today” et il a présenté la première mondiale de
Sound Points de Ned Rorem lors d’un récital au Lincoln Center.

Maîtrisant un répertoire qui s’étend de Bach à Xenakis, Gilles Vonsattel est également un chambriste apprécié comme en témoignent ses apparitions à Paris (Musée du Louvre) et à Washington (Library of Congress). Gilles Vonsattel participe à de nombreux festivals, notamment à celui d’Aspen et au Music Academy of the West.
Gilles Vonsattel se produit dans le cadre du Caramoor International Festival et figure parmi les “Rising Stars Series” du festival. Il est membre de la prestigieuse Chamber Music Society of Lincoln Center et collabore avec Kim Kashkashian, Cho-Liang Lin, Paul Neubauer, David Shifrin, Gary Hoffman et Yo-Yo Ma.

On le retrouve également sur d’importantes scènes internationales, telles le Symphony Hall de Boston, le Severance Hall de Cleveland, le Herbst Theatre de San Francisco, la Benedict Music Tent d’Aspen et l’Opera City Hall de Tokyo.
En 2006, il remporte le Concours de Genève (2e Prix – 1er Prix non attribué – Prix du Public, Prix spécial “Coup de Cœur Breguet”, Prix spécial “Mandarin Oriental”). Durant la saison 2007-2008, il se produit au Festival de la Roque d’Anthéron, au Festival Chopin à Varsovie, au Musée d’Orsay à Paris, à la Tonhalle de Zürich et au Spivey Hall d’Atlanta. Son enregistrement de
Contrastes de Bartók pour Deutsche Gramophon est disponible sur iTunes.

Gilles Vonsattel s’intéresse vivement aux productions qui ouvrent de nouveaux horizons, aussi bien aux musiciens qu’aux mélomanes. Récemment, il a partagé l’affiche avec les groupes pop/rock Eluvium et Aniima sous les auspices des “Wordless Music Series” à New York. 

+ Juraj Valčuha

Né en Slovaquie, Juraj Valčuha a fait ses études musicales à l’Académie de Musique de Bratislava (composition, direction d’orchestre et cymbalum ). De 1995 à 1997, il s’est perfectionné au Conservatoire National de Saint-Pétersbourg, où il a suivi l’enseignement de Guennadi Banchtchikov ( composition ) et llya Moussine ( direction d’orchestre ). En 1998, il a été admis au Conservatoire National Supérieur de Paris dans la classe de direction d’orchestre de Janos Fürst.

De 2003 à 2005, Juraj Valcˇuha a occupé le poste de chef assistant de l’Orchestre et de l’Opéra National de Montpellier. Au cours de la saison 2002-2003, il a fait ses débuts à l’Orchestre National de France, avec lequel il a enregistré Mirra, opéra de Domenico Alaleona, ainsi qu’à l’Orchestre Philharmonique de Radio-France et l’Orchestre National d’Ile de France. Durant les saisons suivantes, il a notamment dirigé l’Orchestre Philharmonique de Nice et l’Orchestre National du Capitole de Toulouse. Ses engagements durant la saison 2005-06 l’ont conduit notamment à la tête de l’Orchestre National de France, l’Ensemble Orchestral de Paris, l’Orchestre Symphonique de Galicie, l’Orchestre National d’Ile de France et la Philharmonie Slovaque. En 2006, Juraj Valcˇuha a dirigé une production très remarquée de La Bohème à l’Opéra de Massy, ainsi que La Chute de la Maison Usher de Debussy et Le Jardin Empoisonné de Chapochnikov avec l’Orchestre National de France. Il a également fait ses débuts en Allemagne à la tête de la Philharmonie du Rheinland-Pfalz à Ludwigshafen.

Au cours de la saison 2006-2007, Juraj Valcˇuha s’est produit avec l’Orchestre National de Belgique, l’Orchestre Toscanini de Parme, l’Orchestre Symphonique Sicilien de Palerme. A la tête de l’Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo, il a dirigé le concert du Nouvel- An et un concert dans le cadre du Printemps des Arts. Il a en outre dirigé Les Noces de Figaro à l’Opéra de Nancy et une nouvelle production de La Bohème au Théâtre de Bologne, ainsi que Barbe-Bleue de Bartók et La Voix Humaine de Poulenc à l’Opéra de Lyon. 

+ L’Orchestre de Chambre de Genève

L’ascension a été fulgurante : en moins de quinze ans, L’Orchestre de Chambre de Genève (L’OCG) est passé du rang de formation semi-professionnelle à celui d’un orchestre de premier ordre, unique en son genre dans le paysage musical lémanique. Sous l’impulsion du chef allemand Michael Hofstetter, à la tête de l’ensemble depuis 2001, L’OCG a développé une identité sonore très personnelle s’inscrivant dans une approche d’interprétation historique. Privilégiant un répertoire qui s’étend du baroque tardif à l’époque romantique, Michael Hofstetter cherche à retrouver la coloration originale des œuvres abordées en faisant jouer celles-ci sur instruments historiques. Cordes en boyau, archets classiques, de même que flûtes en bois et cuivres naturels ont ainsi trouvé leur place au sein de l’orchestre, aux côtés des instruments modernes. 

Loin de se limiter au seul répertoire du passé, L’OCG aborde également des œuvres contemporaines, qu’il met en perspective avec des compositions plus anciennes. L’OCG se fait aussi un point d’honneur de valoriser des compositeurs méconnus ou oubliés. Joseph Martin Kraus, Joseph Leopold Eybler ou Jean-Ferry Rebel font ainsi partie des compositeurs remis en valeur au cours des derniers concerts. 

Établi à Genève, L’OCG y présente chaque année au Bâtiment des Forces Motrices une saison forte de six à sept concerts d’abonnements. Ses autres activités, qui totalisent une cinquantaine de prestations annuelles, comprennent des collaborations avec la Ville de Genève (Concerts du dimanche, Sérénades d’été) et différents chœurs genevois ou romands, des coproductions avec d’autres phalanges (notamment l’Orchestre des Pays de Savoie), une production annuelle avec l’Opéra de Fribourg, un partenariat avec le Concours de Genève, des concerts pour les jeunes, des enregistrements radiophoniques et discographiques, des tournées en Suisse et à l’étranger, ainsi que des concerts à caractère privé. 

En prenant la succession de Thierry Fischer et de Lev Markiz, Michael Hofstetter a consolidé leur démarche et relevé encore la qualité de l’orchestre, lui permettant de collaborer avec des chefs et des solistes de premier ordre, comme Armin Jordan, Paul Goodwin, Arnold Östman, Alessandro de Marchi, Nathalie Stutzmann, Aldo Ciccolini ou Matthias Goerne.

Cet élan, reconnu déjà dans le milieu artistique, vient d’être salué également dans celui des entreprises: L’OCG a reçu en mai 2005 le Prix Michel Baettig qui récompense une réussite exceptionnelle et le succès d’une équipe dynamique. 

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